[COOPÉRATION] Région Nouvelle-Aquitaine – Communauté autonome d’Aragon

Cet appel à projets concerne des projets de coopération se déroulant en 2022 et mobilise une enveloppe financière de la Région Nouvelle-Aquitaine de 120 000 €.

Objectifs

Promouvoir les actions de coopération des agents socio-économiques néo-aquitains pour la réalisation de projets communs de coopération avec des partenaires de la Diputación General de Aragón.

Bénéficiaires

  • Les personnes morales ou physiques, publiques ou privées mettant en œuvre des projets de coopération transfrontalière avec d’autres personnes morales ou physiques, publiques ou privées de la Région d’Aragon
  • Le bénéficiaire devra avoir son siège social ou domicile dans la Région Nouvelle-Aquitaine
  • Les partenaires devront avoir leur siège social ou leur domicile dans la Région d’Aragon.

Critères de sélection

Les projets seront étudiés en fonction de leur intérêt pour la coopération transfrontalière, de leur impact territorial, de la viabilité du projet, de son caractère innovant et de la clarté de la description et des modalités de mise en œuvre (voir pondération dans le texte de l’appel à projets à télécharger).

Nature des projets

Les projets doivent s’inscrire dans les domaines suivants :

  • Enseignement supérieur, recherche, innovation et transfert technologique
  • Éducation, formation, culture et tourisme
  • Environnement et développement durable

Taux des subventions et dépenses éligibles

Le montant maximum des subventions accordées par les deux Régions au titre du fonds commun est fixé à 50 % du coût total TTC, à l’exception des organismes récupérant la TVA. Dans ce cas, le montant HT sera pris en compte. Ainsi, les opérateurs devront indiquer à travers une lettre d’engagement s’ils récupèrent ou pas la TVA. Le coût total est constitué par l’ensemble des dépenses engendrées par la réalisation du projet commun aux différents partenaires. Ceux-ci devront obligatoirement justifier les apports financiers (autofinancement ou autres cofinancements publics et privés) utilisés pour la réalisation du projet.

Date limite de dépôts des dossiers

15 février 2022

[AMI] Diagnostic maturité numérique

La Région Nouvelle-Aquitaine, dans son plan de relance, accélère son accompagnement à la transformation numérique des entreprises et lance cet appel à manifestations d’intérêt pour aider les PME à élaborer une stratégie et une feuille de route numériques.

Qu’est-ce que ce le diagnostic de maturité numérique ? 

Le dispositif consiste en un accompagnement de 2 jours en entreprise. Un prestataire mandaté par la Région Nouvelle-Aquitaine réalise un diagnostic de la maturité numérique de l’entreprise, en se basant sur le numérique comme levier au service de la stratégie globale. 

Il s’agit à travers ce dispositif, d’identifier les forces et faiblesses de l’organisation ainsi que les opportunités et menaces de son environnement concurrentiel pour entreprendre une démarche de transformation digitale ; de définir, structurer et prioriser les plans d’actions de transformation digitale et allouer les ressources stratégiques nécessaires aux ambitions du projet, en identifiant les ressources internes ou externes indispensables à la réussite du projet.  

Bénéficier d’un diagnostic en maturité numérique pour : 

  • Connaître son niveau de maturité numérique et son potentiel de transformation  
  • Bénéficier de recommandations pour définir et déployer son plan d’actions 
  • Co-construire et disposer d’un plan d’actions opérationnel à court et moyen terme  

Et bénéficier d’un coaching 3 mois après la restitution du plan d’actions.

Échéances 

  • Ouverture de l’appel à projets : 03/07/2020 
  • Appel à projet au fil de l’eau avec un comité de sélection tous les mois  
  • Fin de l’appel à projets : 31/03/2022 

Informations & candidatures ici.

[CULTURE & MÉDIAS] L’appel des indépendants – Acte 2

Culture & médias

L’Appel des indépendants, Acte 2

Engagés au présent et acteurs de l’avenir

Le 11 mars dernier, alors que l’ampleur de la crise était encore incertaine, 30 structures indépendantes lyonnaises engagées dans tous les secteurs de la création et des médias (musiques, livre, arts visuels, numérique, arts de la scène, cinéma, magazines, radios, web, podcasts, photographie, graphisme, design…) lançaient un appel à la confiance et la solidarité face à l’ampleur de la catastrophe globale qui s’annonçait et dont nous pressentions qu’elle allait frapper brutalement nos secteurs.

Très vite, l’appel a été rejoint par plus de 300 structures en France : festivals, salles de concert, producteurs de spectacles, collectifs d’artistes, auteurs et acteurs de la création, médias en ligne ou imprimés, labels, éditeurs, lieux d’accompagnement, prestataires techniques…

Avec la fermeture des lieux, l’annulation des événements et les règles de la « distanciation sociale » antinomiques de l’essence même de notre fonction, nos structures, coopératives, entreprises et associations d’intérêt général, déjà structurellement fragiles, ont été les premières frappées par les conséquences économiques de la crise ouverte par le Covid- 19.

Nous avons cependant choisi de suspendre toute communication et diffusion de cet Appel, par respect pour les victimes et la primauté de l’urgence sanitaire. Mais nous avons continué à travailler collectivement, à nous battre pour préserver des emplois, à mesurer l’ampleur des dégâts sur chacune de nos structures – et plus largement sur la société.

Nous nous retrouvons, solidaires et unis dans cet ensemble d’acteurs culturels et de médias indépendants, parce que le secteur culturel auquel nous appartenons n’est pas uniforme et ne présente pas les mêmes fragilités face à cette crise :

Alors que les grandes institutions ont un niveau de financement public qui, dans l’immense majorité des cas, ne menacera pas leur survie et que les collectivités publiques endossent la responsabilité de leur pérennité, nous devons nous battre chaque jour pour tenter de sauver nos emplois et faire entendre la fragilité de notre secteur.

Alors que nous sommes contraints à cette visibilité économique à très court terme, la crise à l’inverse aiguise les appétits et accroît la prédation des grands groupes qui profitent de la fragilité des petites et moyennes structures culturelles et des médias indépendants pour les racheter et conforter leurs monopoles.

NOUS NE BÉNÉFICIONS NI DE LA TUTELLE PROTECTRICE DE L’ÉTAT,
NI DES APPORTS FINANCIERS DES GRANDS GROUPES :
NOUS SOMMES SEULS, DONC NOUS DEVONS ÊTRE ENSEMBLE.

En quelques heures, le Fonds public d’investissement d’Arabie Saoudite est rentré dans le capital de Live Nation au moment même où les discussions de recomposition capitalistique débutaient en France autour du groupe Lagardère… et où le fond d’investissement de l’Etat chinois CITIC prenait le contrôle du groupe media tchèque Médea, suscitant instantanément l’inquiétude la plus vive chez les militants de la liberté de la presse et les acteurs culturels du pays. Les grandes manœuvres ont commencé, notamment dans l’industrie musicale et les médias, accentuant les concentrations et menaçant le pluralisme des opinions comme la diversité culturelle.

Nous choisissons de parler au nom des structures indépendantes, des acteurs petits et moyens de la culture, non pour nous-mêmes et nos intérêts particuliers ou sectoriels, mais parce que nous sommes convaincus que nous portons une vision et une pratique de la culture essentielles à sa diversité, à sa vitalité, à son avenir.

Parce que nous formons ce maillage contemporain et engagé, enlacé dans son époque, au plus près du terrain, des publics, notamment de la jeunesse, de leurs fractures,
Parce que nous savons articuler un engagement de proximité avec une vision européenne et cosmopolite,
Parce que nous travaillons le plus souvent avec peu de moyens, en réseau, de façon collaborative, en dialogue et en co-construction avec d’autres acteurs, avec de nombreux partenaires publics et privés,
Parce que nous dessinons notre horizon bien au-delà de nos champs disciplinaires et de nos silos, parce que nous avons intégré la révolution numérique tout en la tenant à une juste distance critique…

Lire la suite et signer l’appel des indépendants.

[ARTISTES] Appel à candidatures « P’tites Scènes » !

Ce dispositif développé par l’Iddac, Agence culturelle du Département de la Gironde, et un réseau de programmateurs locaux permet à des artistes en développement conjuguant dans leurs créations texte et musique, d’être accueillis en résidence et de se produire sur scène lors de tournées sur le territoire girondin.


CRITÈRES

Les artistes ou groupes sont éligibles au dispositif P’tites Scènes s’ils réunissent l’ensemble des critères suivants :

– Artistes et groupes professionnels dont le projet est en voie de développement
– Formation musicale composée de 1 à 4 artistes maximum sur scène
– Répertoire musical constitué de compositions originales
– Pas de formation uniquement instrumentale (la voix, le chant sont essentiels dans le répertoire)
– Artistes résidant en France.


COMMENT CANDIDATER ?

Vous souhaitez devenir un artiste des P’tites Scènes 2020/2021 ? Toutes les infos ici.

Clôture des candidatures : fin décembre 2019
Sélection des candidats : janvier 2020

[APPEL À PRESTATAIRE] Accompagnement de projet musiques actuelles en Creuse

Le Solima Creuse recrute un prestataire extérieur pour un accompagnement à la définition d’un projet de musiques actuelles pour le territoire.

Cette mission comprend 3 phases :

Finalisation d’un état des lieux et réalisation d’entretiens
Formalisation d’un projet de territoire en faveur des musiques actuelles et définition d’un projet de musiques actuelles
Préconisations sur la mise en œuvre

La durée de la prestation s’étendra du 23 mai au 4 novembre 2019.

La réponse au cahier des charges est à envoyer par courriel à solimacreuse@gmail.com avant le 17 mai 2019.

Cahier des charges ici