[ACAV] Chargé.e de l’action culturelle

CHARGÉ•E DE L’ACTION CULTURELLE

CONCERTS AU VILLAGE (47)

DESCRIPTIF DE LA STRUCTURE

Depuis 2013 l’association Concerts Au Village développe un projet global de territoire dédié aux musiques actuelles. L’organisation de quelques concerts estivaux a très vite laissé la place à un projet pluriel et actif tout au long de l’année : saison de diffusion, actions culturelles et résidences. Transformant l’initiative originale en projet de territoire dédié aux musiques actuelles.

CHARGÉ•E DE L’ACTION CULTURELLE

Le/la chargé-e de l’action culturelle participera à la conception, la mise en place et le suivi des actions culturelles, sociales et éducatives portées par l’association :

• Il/elle concevra, en lien avec le C.A de l’association la politique globale d’action culturelle de la structure, des actions de sensibilisation, des actions éducatives, de décloisonnement des publics
• Il/elle rencontrera l’ensemble des structures du territoire potentiellement intéressées par les actions : établissements scolaires, de soins, centres éducatifs fermés ou spécialisés, centres sociaux, maisons de retraite, écoles de musique, associations locales…
• Il/elle définira les objectifs des actions et en évaluera l’impact. Il/elle concevra les outils nécessaires au suivi et à l’évaluation des actions et rédigera le bilan des actions menées.
• Il / elle sera chargé-e des relations avec les différents partenaires (structures socio-culturelles, sociales, collectivités…) et participera à la recherche et à la mobilisation de nouveaux partenariats. 

• Il/elle participera à la recherche de financements et du suivi administratif des projets d’action culturelle menés.
• Il/elle participera à la veille et à la recherche de financements spécifiques (appels à projets, fondations, ARS…)
• Il/elle participera à l’élaboration et au suivi des budgets des actions menées

• Il/elle organisera l’accueil des artistes, des publics et des partenaires lors des actions menées, et participera à la communication et de la valorisation des actions.
• Il/elle organisera et prendra en charge de l’accueil des intervenants et participants aux actions menées (artistes, publics, partenaires…)
• Il/elle accompagnera les participants tout au long de l’action et en supervisera le déroulement.
• Il/elle participera à la stratégie de communication en direction des publics et des partenaires, à l’information et à la valorisation des actions menées.

PROFIL RECHERCHÉ

  • Bac + 3 métiers de la culture.

  • Expérience similaire dans le secteur culturel (emploi, bénévolat, stages…).

  • Connaissance du secteur des musiques actuelles

  • Bonne maîtrise des outils informatiques

QUALITÉS REQUISES

• Aptitudes rédactionnelles
• Aisance relationnelle, sens de l’écoute et diplomatie
• Sensibilité musicale, intérêt pour les musiques actuelles

• Créativité et dynamisme
• Polyvalence
• Permis B obligatoire

INFOS PRATIQUES

• Date de prise de fonction : Janvier 2025
• Date limite de candidature : 30 novembre 2024
• Rémunération envisagée : Groupe 5 (Grille CCNEAC)

• prise de poste janvier 2025, 25h/semaine
• poste basé en Monflanquin (47), télétravail possible
• statut/rémunération :
 CDI, groupe 5 (Grille CCNEAC)
• envoi CV et lettre de motivation à contact@concerts-au-village.fr

[LA CH’MISE VERTE] Attaché•e de production

ATTACHɕE DE PRODUCTION

LA CH’MISE VERTE (86)

DESCRIPTIF DU POSTE

Un(e) attaché(e) de production travaille sous la supervision du directeur de production et du conseil d’administration et fait partie de l’équipe de production. Ses tâches comprennent des aspects administratifs et de bureau qui peuvent être demandés par les membres de l’équipe afin de mener à bien les projets de manière efficace et dans les délais impartis. Il ou elle est amené à être en contact avec différents secteurs du festival : artistique, logistique, partenariat, bénévole, communication. 

L’association organise un festival de musique, le Festival Au Fil Du Son, au mois de juillet tous les ans à Civray (86). L’association, en plein développement, est également amenée à travailler sur l’organisation d’autres évènements ponctuels ou récurrents. 

Sous la responsabilité du conseil d’administration de l’Association et de la direction de production, il ou elle aura à sa charge des missions relatives aux évènements et des missions administratives :

1. Tâches relatives aux évènements de l’association

Voici les tâches confiées à l’employé(e) de production pendant nos évènements :

a) Avant les évènements organisés par l’association

• Gestion de billetterie (ouverture, gestion des CE, suivi des ventes, gestion des e-mails billetterie, gestion des invitations, …)

• Production (gestion des fiches de renseignement d’avant contrat, suivi des contrats artiste, récupération et analyse des riders)

b) Pendant les évènements organisés par l’association

• Participation au montage

• Suivi et ajustement des billetteries

• En fonction du ou des postes définis par le conseil d’administration et de la direction, les missions peuvent être variables.

Exemples :
o Gestion des bénévoles (planning, pointage, …)
o Gestion des loges (planning run, liste des véhicules, catering artistes, …)
o Gestion de l’accueil festivalier (suivi des ventes, de la pause de bracelet, du contrôle d’accès, des sorties des festivaliers, …)

c) Après les évènements organisés par l’association

• Participation au démontage

• Diverses tâches administratives
o Comptables : saisie, suivi, … (cf. « tout au long de l’année)
o Secrétariat : suivi des dossiers de subventions, tableau récapitulatif des ventes, suivi de personnel, … (cf. « tout au long de l’année)

2. Tout au long de l’année

• Réalisation de documents textuels (dossiers de subventions, dossier d’affiliation, rédaction de courriers, …) et graphiques (plaquettes, déclinaisons graphiques, mise à jour de charte, visuels…)

• Réalisation de devis, édition de facture, contrôle et suivi de la banque, renouvellement de licences…

• Suivi des échanges avec les partenaires privés ou institutionnels (subventions, gestions de plusieurs boîtes mails, …)
L’employé(e) devra assurer l’entretien de son matériel et des locaux et des locaux de l’association :

• Rangement et entretien régulier des locaux (parties privées et communes) en collaboration avec les autres salariés et/ou stagiaires

• Trier, nettoyer régulièrement sa boite mail, son drive et son serveur

• L’adaptation et l’imprévu faisant partie de la vie professionnelle ; il se peut que ponctuellement des missions autres puissent être demandés par le directeur et/ou le conseil d’administration. 

PROFIL RECHERCHÉ

  • Organisation et gestion des priorités 
  • Polyvalence et autonomie 
  • Compétences relationnelles et travail d’équipe 
  • Adaptabilité 
  • Connaissance des outils bureautiques 
  • Capacité rédactionnelle 
  • Compétences en production événementielle 

• Une première expérience dans l’événementiel est un plus (bénévolat, stage, première expérience salariée). 

• Des études dans le domaine de la production évènementielle ne sont pas requises mais sont un plus.

• L’employé(e) sera rattaché à la Convention collective nationale des entreprises du secteur privé du spectacle vivant (IDCC 3090).

[COMMUNIQUÉ] L’ARS fait la sourde oreille aux risques auditifs !

L’ARS fait la sourde oreille aux risques auditifs !

L’arrêt brutal des financements de l’Agence Régionale de Santé Nouvelle-Aquitaine sur la réduction des risques auditifs : une décision qui interroge pour la santé des jeunes néo-aquitains.

Quatre structures adhérentes au Réseau des Indépendants de la Musique portent un programme d’actions autour des risques auditifs de longue date et de façon coordonnée. En mars 2024, elles ont été informées de l’arrêt des financements de l’ARS Nouvelle-Aquitaine sur cette thématique (dès 2024 pour 3 des structures concernées, et à partir de 2025 pour l’ensemble d’entre elles).

Cette annonce n’a été précédée d’aucune concertation, et ce alors même que le 4ème Plan National Santé Environnement, duquel se déclinent les orientations régionales, cible pourtant la réduction des risques auditifs chez les jeunes comme prioritaire et que le bilan pluriannuel de ces structures a été présenté comme exemplaire par l’ARS elle-même lors de réunions en présence de leurs partenaires.

Avec la perte d’un cumul de financements annuels de 71 000 €, ce sont des milliers de jeunes néo-aquitains qui ne bénéficieront pas d’une prévention adaptée et efficace, notamment via la diffusion de spectacles pédagogiques.

En effet, en 2021, l’étude régionale menée auprès des jeunes bénéficiaires de ces actions a permis de mettre en évidence que :

55% ont déjà ressenti un symptôme de surdité ;
70% déclarent être prêts à changer de comportement, et 90% ont pris conscience de l’irréversibilité des pertes d’audition après avoir vu un spectacle pédagogique.

Le RIM est solidaire de ses adhérents (La Fédération Hiero Limoges, La Nef, Le CaféMusic, Virus Prod) face à cette situation unique en France et qui impacte par ailleurs durement l’emploi (permanent et/ou intermittent) au sein des structures. Ayant déjà sollicité par courrier recommandé un rendez-vous avec la direction de l’ARS avec pour seul retour les mêmes informations que celles transmises en mars sans aucune proposition d’entre-vue, il s’associera à toute démarche de leur part visant à retrouver le légitime et nécessaire soutien à leurs actions d’intérêt général.

Pour que la musique reste un plaisir, aidez-nous à réduire les risques pour l’audition des jeunes.

Chiffres_forts_etude_ARS_spectacles_pedagogiques_2018-2020

[VIE ASSO] Assemblée Générale du RIM

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Notre prochaine assemblée générale aura lieu le mercredi 27 novembre, de 9h30 à 16h00 à la Halle des Douves (Bordeaux).
Les inscriptions à notre prochaine Assemblée Générale sont lancées !

Pour rappel, il ne s’agit pas d’une Route du RIM, mais bien d’une simple (mais inoubliable) AG !

Nous nous retrouverons donc sur UNE journée, exclusivement réservée aux adhérents.

Nous avons hâte de vous y retrouver 🙋‍♀️

DEMANDEZ LE PROGRAMME !

MARDI 26

À partir de 19h • Le « resto de la veille »

📍Restaurant Le Bouillon Saint-Jean, 25 rue Charles Domercq (en face de la gare)

MERCREDI 27

📍Halle des Douves

9h30 – 10h • Accueil café
10h – 12h Présentation et vote du projet 2025, annonce des résultats des élections partielles
12h – 14h • Repas sur place
14h – 16h • Forum – Comment réagir collectivement face à la montée des extrêmes droites ?

👀 FORUM.

Comment réagir collectivement face à la montée des extrêmes droites ?
L’examen de la montée des extrêmes droites dans l’espace politique permet de préciser le moment historique que nous vivons. Au-delà de la sidération, c’est le basculement possible de notre secteur qui doit nous alarmer. Comment pouvons-nous passer dès maintenant et collectivement à l’action ?
Pour anticiper les grands moments démocratiques à venir, mesurons ensemble les impacts des dernières élections sur le secteur des musiques actuelles et les niveaux de risques en Nouvelle-Aquitaine. Essayons d’analyser les leviers à notre disposition dans le cadre structurant du Réseau des Indépendants de la Musique, grâce aux outils et aux ressources existants. Imaginons de nouvelles actions pour mettre le réseau en ordre de marche.

Témoignage de Cyril Della-Via, Directeur de la Fédération des musiques actuelles en Occitanie – Octopus

 

BON À SAVOIR

VOTE DU PROJET 2025

Le projet 2025 ainsi que les élections partielles seront votés sur place.
Vous pouvez dès à présent consulter le projet 2025

VOUS NE POURREZ PAS ASSISTER À L’AG ?

Contactez Meggy Cosson (prenom.nom@le-rim.org) pour donner votre pouvoir.

1 PIERRE / 3 COUPS

✊ Le Label Bâbord organise le 26 novembre (la veille !) son Assemblée Générale ! Rendez-vous à 10h à la salle Nicole Vanrast au 250 rue Malbec à Bordeaux. + d’infos

🎊 Le festival Culture Bar-Bars est en cours ! Le soir de l’AG, le 27 novembre, Colors In the Street est programmé à l’iBoat + d’infos
Découvrez le récap’ de l’ensemble des dates en Nouvelle-Aquitaine du festival Culture Bar-Bars

 

 

 

 

 

 

INFOS PRATIQUES

COMMENT VENIR ?

📍Halle des Douves
4 Rue des Douves, Bordeaux

🚂  Depuis la gare de Bordeaux Saint-Jean
15 min à pieds / 10 min en transports en commun

HÔTELS PARTENAIRES

Contactez les établissements par téléphone en précisant que la réservation est pour le RIM :

Ténéo Bordeaux Saint-Jean
☎️ 05 56 33 22 00

  • Suite affaire double (1 lit double pour 2 personnes) 94€
  • Suite junior triple (1 lit simple + 1 lit double) : 102€

Taxe de séjour en supplément à 1,44€ par jour et par personne
Petit déjeuner : 9€ par personne
Place de parking : 10€ par jour

Life Hôtel
☎️ 05 35 54 19 16

  • Chambre single + petit déjeuner : 129€
  • Chambre double + petit déjeuner : 139€

 Taxe de séjour en sus à 1,44€ par nuit et par personne

 

 

APPEL À MOBILISATION • PLF 2025 : Qui veut la mort des radios associatives ?

Le RIM se joint aux représentant·e·s des radios libres et associatives pour affirmer l’attachement de la filière des musiques actuelles à l’existence de ces médias sur le territoire. La baisse non concertée et brutale projetée sur le FSER mettrait en péril l’existence de la plupart d’entre elles, avec des conséquences importantes pour les artistes et structures de notre filière, mais aussi plus largement sur l’information locale et le maillage culturel du territoire.

Communiqué du 11 octobre 2024 – Source cnra.fr

PLF 2025 : Qui veut la mort des radios associatives ?

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Le Projet de Loi de Finances 2025, présenté par le Gouvernement, annonce une réduction de 35 % du Fonds de Soutien à l’Expression Radiophonique (FSER). Cette baisse, inscrite dans le cadre du plan d’économies souhaité par le Premier Ministre et son Gouvernement , n’est pas une simple coupe budgétaire. Elle touche de plein fouet un secteur vital pour l’expression démocratique et culturelle de notre pays : les radios associatives. Présentes sur tout le territoire, nos radios jouent pourtant un rôle fondamental. Elles assurent  un lien de proximité avec les citoyens créant du lien social, elles  favorisent la diversité des opinions, elles donnent la  parole à ceux qui en sont souvent privés, elles ouvrent leurs micros   aux acteurs et aux  élus locaux pour informer les habitants d’une dynamique et du développement de leur territoire..

Les radios associatives ne doivent pas porter le poids des économies imposées à la Direction Générale des Médias et des Industries Culturelles (DGMIC).

Sur les 12 millions d’euros d’économies demandées, 10,4 millions d’euros seront entièrement supportés par les radios locales associatives, alors que ces dernières ne représentent que 4 % de l’enveloppe budgétaire globale dédiée à la Mission Médias, Livre et Industries Culturelles. Ce choix interroge sur la priorité accordée à nos radios, qui sont pourtant des piliers essentiels de notre démocratie. Les radios associatives sont un outil d’inclusion sociale et culturelle, un vecteur de cohésion, qui a toujours su évoluer avec peu de moyens. Pourtant, aujourd’hui, c’est l’ensemble de notre modèle qui est mis en péril.

Les conséquences de ce couperet net dans le fonctionnement économique des radios associatives seront sans appel : impact direct sur l’emploi, alors même que nous sommes le deuxième employeur du secteur radiophonique. Plus largement, c’est l’existence même de nos radios qui est menacée. Les médias de proximité, garants de la diversité et du pluralisme du paysage radiophonique, risquent purement et simplement de disparaître. Ce serait une perte irréparable pour la vie culturelle locale, pour l’accès à une information libre et pluraliste, et pour des milliers de citoyens qui trouvent dans nos radios une voix différente, alternative, et enracinée dans leur quotidien. Elles représentent les médias de proximité par excellence, souvent surnommés les “médias du dernier kilomètre”. Grâce au soutien du FSER, elles offrent une diversité inégalée de programmes produits à la fois par des professionnels de l’animation, des journalistes et par des bénévoles passionnés.

Comment comprendre une telle décision, qui risque d’étouffer les voix et les diversités locales sur nos territoires ?

Il est d’autant plus paradoxal que ce soit notre secteur, le plus vertueux, qui soit la cible de cette réduction. Depuis 2002, nous avons dû faire face à une augmentation sans précédent des charges d’exploitation, tout en subissant la disparition progressive des emplois aidés. Malgré cela, nous n’avons jamais renoncé à notre mission de service public, ni bénéficié d’une augmentation de l’aide individuelle à l’exploitation de nos radios. En s’attaquant à l’un des secteurs les plus vulnérables et économiquement modestes, le Gouvernement semble renier ses propres engagements en faveur de la diversité et de la proximité. Nos radios, qui sont un pilier indispensable de la démocratie locale et de la vie culturelle, se retrouvent aujourd’hui gravement menacées par cette décision, dans un contexte déjà difficile.

 À un moment où :

  • les États généraux de l’information sont censés renforcer la liberté et le pluralisme de la presse ;
  • l’ARCOM décide d’accélérer le déploiement du DAB+ dont les radios associatives sont un moteur essentiel
  • la ruralité et les territoires sont au cœur des préoccupations ;
  •  l’éducation aux médias et à l’information est reconnue comme un enjeu sociétal majeur
  • l’Économie Sociale et Solidaire (ESS) et le tissu associatif sont cruciaux pour la cohésion citoyenne.

Il ne s’agit pas, ici, d’un rabot économique, mais d’un vrai coup de guillotine. Cette exécution est-elle actée, décidée, voulue et assumée ?

Le SNRL et la CNRA sont déterminés à travailler ensemble pour trouver une issue à cette situation critique. Nous appelons dès maintenant l’ensemble des radios associatives à se mobiliser. Nous enjoignons également tout le secteur de la radio (privée et publique) ainsi que l’ensemble du monde de la culture à prendre conscience des répercussions désastreuses que cette mesure pourrait engendrer. Si cette proposition est confirmée, c’est une déstabilisation sans précédent de tout le secteur que nous devrons affronter collectivement.

Nous appelons l’ensemble des Parlementaires à prendre conscience de la dimension mortifère de cette proposition et à agir pour sauvegarder la diversité et la vitalité des radios associatives en France. Nous demandons également aux élus locaux de se mobiliser pour éviter la disparition de ces petites entreprises ancrées dans leurs territoires, ainsi que la perte des emplois de leurs salariés, qui jouent un rôle clé dans la dynamique locale et la cohésion sociale.

Nous appelons le Gouvernement à revoir sa position et à rétablir un soutien digne de l’importance des radios associatives pour notre société. Nos radios, et à travers elles la voix de milliers de citoyens, méritent mieux que l’abandon auquel ce projet de loi les condamne.